Définition de la FOAD

La FOAD est un dispositif de formation ouverte qui peut s’utiliser à distance. À cet effet, la formation ne se basera pas uniquement sur le présentiel. La mise en relation directe ou en face à face avec un formateur ne sera pas obligatoire. Malgré tout, ce dispositif reste organisé pour permettre à un individu de suivre une formation tout en prenant ses contraintes personnelles et professionnelles en compte. Les situations d’apprentissage seront à la fois complémentaires et plurielles. Les temps de formations seront aussi plus flexibles tout en permettant à l’apprenant de jouir de médiations pédagogiques humaines et technologiques ainsi que de ressources complètes.

Les spécificités de la FOAD

Ce dispositif de formation se caractérise par la flexibilité et la distance. L’apprenant pourra y entrer et en sortir librement. Il jouira également d’une plus grande liberté sur le choix de son lieu de formation. Une circulation antérieure à la loi du 5 mars 2014 donnée par l’Administration définit d’ailleurs la FOAD comme étant un dispositif de formation souple. Son organisation se fait de manière individuelle et conformément au profil de chaque apprenant. Il faut cependant garder à l’esprit que la FOAD n’a rien à voir avec l’autoformation ou encore les outils de formations à distance.

Pourquoi utiliser la FOAD ?

Avec la FOAD chaque apprenant peut se former à son rythme. Les salariés par exemple y accéderont quand et où ils le veulent. Les parcours mis en place par le dispositif sont entièrement individualisés et ajustables. En fonction de leurs contraintes, les apprenants pourront s’organiser et opter pour les temps de formation qui leur conviennent. La FOAD est également accessible à tous les publics. Les personnes désireuses de suivre une formation, mais qui n’ont pas la possibilité d’accéder à des formations présentielles pourront l’utiliser. Elle aborde aussi différents domaines de cursus formatif dont les parcours pourront se construire en fonction des besoins de chaque apprenant.

Le type de formation

Que ce soit pour une formation certifiante ou diplômante, il y aura deux formes basiques de formation : présentielle ou à distance. La première est similaire au régime d’école, où vous aurez à assister aux cours dans une salle. La deuxième requiert plus de discipline, car seuls les documents vous seront partagés en ligne. Toutefois, dans la formation à distance, des séances de regroupement seront prévues.
– La formation certifiante
Si vous estimez que vous n’avez pas assez de temps pour vous consacrer à la formation, ou que vous devez rapidement trouver un poste dans le domaine de la comptabilité, des organismes proposent des formations courtes, mais efficaces, à l’issue desquelles vous obtiendrez une certification. Ces formations requièrent tout de même un niveau bac. Elles sont généralement intitulées : l’essentiel de la gestion, être assistant comptable, être un expert du reporting financier, etc.
– La formation diplômante
Ce sont généralement des formations plus longues, orientées spécialement vers la comptabilité ou dans d’autres domaines qui l’incluent. Les diplômes sont de niveaux divers : du Bac pro au master. Vous pourrez opter pour un Bac Pro en gestion et administration, un BTS assistant manager de PME, une licence en économie et gestion, une licence pro comptabilité et paie, un diplôme de comptabilité et de gestion (DCG), etc.

Comment financer votre formation ?

Vous pouvez mobiliser votre Compte Personnel de Formation (CPF) pour financer votre formation. Si vous avez déjà travaillé dans le domaine de la comptabilité, vous pouvez vous former par la VAE (Validation des Acquis de l’expérience). Et enfin, si vous êtes demandeur d’emploi, Pôle Emploi peut vous épauler pour la formation.

Dans la liste des différents métiers du web qui rapporte, on retrouve celui de rédacteur. Actuellement, la présence en ligne est non seulement obligatoire pour les prestataires de service, mais aussi doit être de qualité. Ils ne peuvent donc plus se passer de ce genre de professionnel.

En quoi consiste le métier de rédacteur web ?

Le métier de rédacteur web consiste à rédiger des articles pour les sites et les blogs en ligne. Les normes pour ce faire sont quelque peu différentes de ceux des travaux de rédactions classiques en Français. Bien évidemment, il faudra garder à l’esprit les règles d’orthographes et de grammaire, mais il faudra également éviter les tournures trop complexes et être concis dans les informations que l’on donne. Ce sont des astuces afin d’attirer l’attention de son lectorat et de proposer un peu plus de visibilité au site du client.
Par ailleurs, en rédaction web, avoir le sens de la formule est de mise. Il ne faut pas avoir un ton publicitaire, mais vanter le produit quand même ; il faut éviter les plagiats et avoir des articles uniques et bien étoffer. Et il faut faire preuve de créativité dans l’établissement de la ligne éditoriale de chaque texte.

Les bases à avoir pour devenir rédacteur web

Outre des bases en Français, il est des musts à avoir pour devenir un rédacteur web. Une grande culture générale serait par exemple un atout. Cela vous sera utile dans la recherche de différentes lignes éditoriales. Mais en plus de cela, généralement, les rédacteurs sont des BACC+2, ce peut être en Français, en littérature ou dans d’autres domaines comme le droit, l’histoire, ou des domaines équivalents. Ce sont généralement des branches dans lesquels les travaux de rédactions sont très utilisés.
Être à l’aise avec l’informatique et le web est aussi nécessaire. Il ne suffit pas de savoir faire des recherches, mais aussi de savoir en faire le tri et comment exploiter les informations, sans pour autant les copier.
Et bien que des formations sont possibles, proposées notamment par d’autres rédacteurs, il n’y a pas encore d’établissement qui propose des cursus spécifiques pour ce faire. Autrement dit, aucun diplôme n’est encore nécessaire pour devenir rédacteur web.

Les diplômes qu’il faut obtenir

Le diplôme minimum dont vous devez disposer pour devenir électricien est le CAP préparation et réalisation de tous les ouvrages électriques. Vous devez suivre une formation pendant deux ans après la classe de troisième. Les études se poursuivent dès lors au lycée professionnel. Il est recommandé de continuer les études après cela, pour obtenir le bac pro en électrotechnique, c’est essentiel si vous voulez devenir polyvalent. En étant polyvalent, vous pourrez travailler dans différents domaines comme la domotique, les installations de grande envergure, etc. Cela vous ouvre aussi les portes de l’évolution dans l’exercice du métier : vous avez plus de chance de devenir chef de chantier, par exemple. Certaines qualités sont requises à l’apprenti électricien notamment la rigueur et un véritable sens de l’organisation. Il doit être très responsable car il aura entre les mains la sécurité de ses clients et leurs biens. Pour rappel, la plupart des incendies sont d’origine électrique : installations mal réalisées, erreur de raccordement, etc. Par ailleurs, le relationnel est aussi très important car l’électricien est appelé à entrer en contact avec ses clients : professionnels ou particuliers.

Les prestations que doit proposer un électricien

Du projet à l’installation, l’électricien s’assure de tous les travaux liés à l’électricité d’un bâtiment, d’un appartement, et de tout autre local. Il veille à ce que tous les éléments électriques soient posés correctement dans le respect des normes et indications de sécurité en vigueur. En gros, il peut assurer la pose, la réparation et l’entretien de tous les équipements électriques d’une installation : compteur, dispositifs de sécurité, câblage, prise électrique, etc.
Comme beaucoup d’artisan, l’électricien peut travailler à son compte ou intégrer une entreprise en tant que salarié. Lorsqu’il est salarié, il peut toucher environ 1500 euros mensuels contre un montant plus élevé s’il travaille pour son compte : il peut toucher plus de 4000 euros par mois s’il est très demandé et expérimenté.

Des disciplines variées pour répondre à toutes les attentes

L’apprentissage à distance vous permet de consolider vos acquis, quel que soit le domaine dans lequel vous voulez exceller. Certains modules vous mèneront à l’obtention d’un diplôme académique, tandis que d’autres sont dédiés à l’obtention d’une qualification professionnelle. Vous pouvez notamment suivre des cours d’anglais en ligne. De nombreux centres de formation proposent des cours d’anglais niveau 1 pour adultes à distance. Les séances d’apprentissage se déroulent par visioconférence. A l’aide d’un ordinateur, d’une webcam et d’une connexion Internet, il vous suffit d’un clic pour assister aux cours d’anglais niveau 1 et communiquer avec votre enseignant. En ligne, sur les sites spécialisés, de nombreux autres modules sont à disposition pour vous former directement à l’emploi, notamment dans les domaines de l’assistance sociale, de l’art culinaire, de l’informatique, du web, etc.

Un système de formation aux multiples avantages

Sa souplesse constitue l’un des principaux atouts de l’enseignement à distance. Vous pouvez ainsi apprendre à votre rythme, où vous voulez et quand vous voulez. Vous êtes libre de choisir la matière à étudier pour une période déterminée. Vous pouvez entrer en contact avec des enseignants issus des quatre coins du monde si vous en avez besoin. Si vous n’avez pas le temps de tout apprendre d’un seul coup, il vous est toujours possible d’enregistrer vos cours et de les visionner à chaque fois que c’est nécessaire. Pour une meilleure efficacité du système, la méthode d’enseignement est basée sur l’échange. Ce qui vous permettra d’optimiser vos capacités de mémorisation.

Qu’est-ce qu’un ingénieur en intelligence artificielle ?

Si tous les ingénieurs en intelligence artificielle sont des ingénieurs en informatique, l’inverse n’est pas toujours valable. Un ingénieur en intelligence artificielle est une personne qui sait concevoir des programmes informatiques capables d’adopter un raisonnement humain.
En moyenne, un ingénieur en informatique gagne entre 1 700 euros et 3 500 euros par mois en fonction du secteur d’activité, du projet et de l’ancienneté.

Les offres de formation

Avant, pour être un ingénieur en intelligence artificielle, il fallait en principe passer par un ingéniorat en informatique (Bacc +5). Actuellement, les masters spécialisés dans le domaine commencent à devenir de plus en plus nombreux avec des méthodes d’approche différentes. Certains masters sont par exemple combinés avec une formation en sciences des données comme le Master 2 Intelligence artificielle de l’Université Claude Bernard, le Master International in Machine Learning and Data Mining (MLDM) de l’Université Jean Monnet de Saint-Etienne. D’autres sont plus centrés sur le développement de logiciels ou de robots comme le Master Intelligence Artificielle Distribuée de l’Université Paris Descartes. L’Université Toulouse III – Paul Sabatier propose, pour sa part, un Master en Intelligence Artificielle et Reconnaissance des Formes (Master IARF) qui accorde une place majeure à l’application de l’IA au au traitement d’images et de la parole.
Bref, une large gamme de choix s’offre actuellement à ceux qui veulent entreprendre des études en la matière. A chacun de déterminer la formule qui lui convient.

La taxe d’apprentissage est-elle obligatoire ?

La plupart des employeurs sont redevables à cette taxe. Toutes les entreprises soumises à l’impôt sur les sociétés, les groupements d’intérêt économique, les coopératives agricoles et les entrepreneurs individuels qui exercent une activité artisanale, industrielle ou commerciale sont soumises à cette taxe. Qui sont alors exonérés de cette taxe ? Il y a toujours une exception et celle-ci concerne les entreprises dont la base annuelle d’imposition ne dépasse pas le montant équivalant à six fois le Smic annuel ; les entreprises ou personnes morales exerçant exclusivement dans l’enseignement ; les entreprises civiles de moyens avec une activité non commerciale ; les groupements d’employeurs composés de sociétés civiles agricoles et d’agriculteurs.

Comment calculer la taxe d’apprentissage ?

La taxe correspond à 0,68% des rémunérations et des avantages en nature versés à tout le personnel pendant l’année civile précédente. Le calcul concerne le montant total versé à tous les employés exceptés les apprentis. Par ailleurs, il n’y a pas de déclaration spécifique à faire concernant la taxe d’apprentissage. Elle est indiquée uniquement dans la rubrique « assujettissement aux taxes » de la déclaration automatisée des données sociales unifiée ou de la déclaration annuelle des données sociales. L’employeur doit payer la taxe sur les salaires de l’année précédente avant le 1er mars auprès de l’organisme collecteur de taxe d’apprentissage ou OCTA. Les taxes collectées sont réparties en trois parts : 51% à la fraction régionale pour financer l’apprentissage au niveau des régions, 26% à la fraction quota pour les centres de formation d’apprentis et 23% à la fraction hors quota pour les formations initiales professionnelles et technologiques hors apprentissage.

Les formations adaptées

Pour prétendre accéder au poste de contrôleur de gestion, il est indispensable de suivre des formations dans des écoles de commerce. En fait, un diplôme de master (Bac + 5) est requis. Pour devenir contrôleur de gestion, il faut alors être titulaire d’un de ces diplômes : master en CCA (comptabilité-contrôle-audit), master 2 finance et contrôle de gestion, master 2 en système d’information et contrôle de gestion master 2 spécialité contrôleur de gestion et diplôme supérieur de comptabilité et gestion (DSCG). Il est de préférable d’opter pour les formations qui sont reconnues par l’État. Pour les reconnaitre, il suffit de les vérifier sur le site du RNCP (registre national des certifications professionnelles).

Au programme

En fonction du cursus choisi, les contenus des formations sont très diversifiés. Quoi qu’il en soit, il existe des matières de bases qui doivent absolument faire partie du programme pour toutes les formations qui préparent les étudiants aux métiers de contrôleur de gestion. Il y a entre autres la comptabilité générale, la comptabilité analytique, la comptabilité finance, la finance d’entreprise, la gestion d’entreprise, la stratégie d’entreprise, la gestion du personnel, la gestion de trésorerie, la gestion sociale, la gestion des ressources humaines, le droit des sociétés, le contrôle interne, l’administration ou encore l’anglais. Cette liste est encore incomplète puisqu’elle est assez longue. Pour les connaître toutes, il est conseillé de se renseigner auprès des différents centres de formation. Sinon, il est également possible de prendre conseils auprès des anciens étudiants, des enseignants ou même auprès d’un contrôleur de gestion en service.

Confirmer sa passion pour son domaine d’expertise

Les stages commencent dès la deuxième année. Le but n’est pas ici de vous professionnaliser, quoique vous obtiendrez surement quelques conseils pour devenir un maitre dans votre secteur. Après 2 ans de formation, les établissements souhaitent surtout mettre le point sur votre investissement dans votre domaine d’expertise.
Selon les sondages, près de 20 % des étudiants changent de carrière après ce premier palliée. Ils ont jugé s’être trompés de cursus après avoir constaté la réalité de l’exercice de leur future profession. Au moins, vous serez sûr ne pas perdre plus de temps.

Une expérience professionnelle

Les stages sont aussi d’expériences professionnelles. Les techniques que vous apprendrez sur le tas sont bien meilleures que les versions techniques dans les cours. Vous en saurez davantage sur les normes en vigueur et la pression que sur les bancs de l’école.
Par ailleurs, les stages comptent dans l’établissement de votre CV. Ils sont à classer par ordre de date dans la case expérience professionnelle. Ils peuvent vous aider à trouver rapidement un poste à la fin de vos études.

Une embauche immédiate : c’est possible !

Une autre possibilité serait aussi de se faire embaucher directement après vos stages. Ce genre de situation n’est pas rare. D’ailleurs, si vous présentez des prestations de service de qualité optimale, les employés ne voudront pas vous perdre et seront plus arrangeants quant à la condition de votre embauche. Ce peut être au niveau des salaires que des termes de l’exécution du contrat. Ils seront plus ouverts d’esprit si vous comptez encore continuer vos études pour ce qui est de vos disponibilités, etc.